L’aéronautique est l’un des principaux domaines dans lesquels je traduis. Même si la lingua franca du secteur est clairement l’anglais, les besoins de traduction dans l’industrie aéronautique restent énormes. Si l’on considère que le développement et la fabrication d’un seul avion peuvent nécessiter des centaines de milliers de pages de documentation, la traduction ne serait-ce que de 1 % de cette documentation représenterait plusieurs mois de travail à temps plein pour un traducteur.
Les aéronefs modernes comptent parmi les machines les plus complexes jamais inventées. Par exemple, le Boeing 777 est composé de 132 500 pièces uniques, sans compter la visserie. Prenons maintenant une petite partie de l’avion : le train d’atterrissage, qui n’est pas précisément l’un des éléments les plus complexes de l’appareil. Or, même sans entrer dans les plus petites pièces, pensez-vous qu’un traducteur sans expérience dans ce domaine soit capable de traduire fidèlement les termes de base du schéma ci-dessous ? Et s’il s’agissait de pièces plus complexes ?
Les dictionnaires et les ressources disponibles sur Internet ne suffisent probablement pas pour permettre à un traducteur professionnel de traduire fidèlement dans ce domaine. Pour obtenir une bonne traduction, l’expérience et les connaissances en ingénierie sont indispensables.
Je suis capable de traduire une terminologie complexe liée à l’aéronautique. En fait, les professionnels du secteur me confient régulièrement leurs traductions : je travaille périodiquement pour quatre compagnies aériennes espagnoles.
© 2024 Alejandro Moreno Ramos, www.ingenierotraductor.com